2 commentaires:

  1. Votre hypothèse est intéressante mais possède une défaut : un Houellebecq, pour reprendre votre exemple, a bénéficié de la machine commerciale des éditeurs "papiers", qui a contribué à le "distinguer" parmi les autres auteurs. Dès lors, fort de sa réputation déjà acquise, il pourrait vendre ses livres au format numérique avec beaucoup de profit. Pour un auteur non distingué par l'édition traditionnelle, je pense que c'est très différent. Pour lui, papier ou numérique ne changeront pas grand chose à l'affaire. En fait le vrai problème est non pas le support, mais plutôt la promotion du support, quel qu'il soit. Enfin, c'est mon avis.

    Votre blog est très intéressant, par ailleurs.

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  2. Je suis d'accord avec vous et je précisais qq part qu'il s'agissait d'une sorte d'expérience de l'esprit. Je vais revenir dès que je peux sur le "système de réputation" de l'édition papier et ce qui pourrait changer dans le numérique (mais avant, je parlerai du système de sélection et du système de diffusion, les autres étapes).
    (C)

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